Mort du comptoir des produits frais

Le commerce indigné par les projets de Künast

Le ministère fédéral de la Consommation (BMVEL) envisage d'étendre les exigences très complètes et de grande envergure en matière d'étiquetage des denrées alimentaires préemballées aux denrées alimentaires qui sont principalement proposées par le biais de services, appelées marchandises en vrac. Concernant l'audition de l'association au ministère de la Consommation à l'occasion de la modification prévue de la réglementation sur l'étiquetage des denrées alimentaires, le directeur général de l'Association principale des détaillants allemands (HDE), Holger Wenzel, a expliqué à Berlin :

Il est impossible pour les détaillants alimentaires d'étiqueter de manière exhaustive tous les ingrédients des produits en vrac, par exemple le fromage frais, les saucisses, les produits de boulangerie et les charcuteries. Avec ses exigences, le ministère de la Consommation va bien au-delà de toute limite raisonnable. Cet étiquetage pour les marchandises en vrac n’est ni prévu par l’UE ni réellement nécessaire. Une telle obligation entraînerait des charges et des coûts supplémentaires considérables pour les entreprises. La gamme de produits en vrac varie constamment et est parfois préparée selon des recettes qui changent quotidiennement. Surtout lorsqu'il s'agit de produits frais, les spécialités saisonnières, les articles promotionnels disponibles uniquement pendant une courte période et les spécialités régionales rendent la diversité des produits si attrayante pour les clients. Si les projets du ministère de la Consommation étaient mis en œuvre, toute modification de l'offre entraînerait un ajustement de l'étiquetage des ingrédients. L’effort de mise en œuvre et de maintenance, notamment pour les comptoirs de service, serait énorme. Il existe également des problèmes pratiques liés à l'attribution des listes d'ingrédients aux produits respectifs sur un comptoir.

Es ist zu erwarten, dass dann viele Unternehmen das Angebot an loser Ware stark einschränken oder sogar völlig darauf verzichten. Der Handel müsste verstärkt auf abgepackte Ware im Sortiment ausweichen. Für die Verbraucher würde besonders bei frischem Käse, Wurst und Backwaren sowie Feinkost das Angebot stark eingeschränkt. Die von ihnen geschätzte große Auswahl und Vielfalt würde radikal beschnitten. Für die Unternehmen bedeutet dies möglicherweise den Verzicht auf Sortimente, die etwa 15 Prozent des Umsatzes ausmachen. Angesichts der schwierigen wirtschaftlichen Lage und des ohnehin schon sehr schmalen Gewinns kann diese neue Belastung vor allem für kleinere Geschäfte das Aus bedeuten. Eine Reduzierung von Umfang oder Anzahl der Bedienungstheken gefährdet zudem Arbeitsplätze.

Source : Berlin [hde]

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