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2004 déclin de la population animale
La production porcine est très importante en Pologne. La Pologne fait entrer près de 60 % des porcs de tous les pays candidats dans l'UE élargie. Après l'Allemagne et l'Espagne, notre voisin de l'Est occupe déjà la troisième place au sein de l'UE-25. L'année dernière, plus de porc a été produit, exporté et consommé en Pologne qu'il ne l'a été depuis longtemps.
La production de porc en Pologne a augmenté de 2003 pour cent au premier semestre 14 par rapport à l'année précédente. D'ici la fin de l'année, 1,78 million de tonnes de porc devraient avoir été produites, soit 2002 % de plus qu'en 2003. Cette augmentation massive de l'offre a entraîné des prix à la production qui ont menacé l'existence de l'entreprise, même si la consommation de porc a augmenté de manière significative en XNUMX.
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Forum Godesberger sur la nutrition 2004
Il y a plus de protéines que vous ne le pensez. Les protéines contiennent plus de puissance jusque-là inconnue ainsi que plus de potentiel futur. Cela sera démontré les 29 et 30 avril 2004 par douze conférenciers de renom lors du 4e Godesberg Nutrition Forum. Sous le titre "Protéine - un génie méconnu ? Pouvoir - Potentiels - Perspectives", ils présentent les résultats d'études en cours dans la "Redoute" à Bonn-Bad Godesberg et les discutent dans le contexte des recommandations nutritionnelles établies.
Le directeur scientifique est le professeur Hans Konrad Biesalski de l'Université de Stuttgart-Hohenheim. Enfin, les experts poursuivent la question de savoir si le méjugé devient un génie reconnu.
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Forum Godesberger sur la nutrition 2004
Il y a plus de protéines que vous ne le pensez. Les protéines contiennent plus de puissance jusque-là inconnue ainsi que plus de potentiel futur. Cela sera démontré les 29 et 30 avril 2004 par douze conférenciers de renom lors du 4e Godesberg Nutrition Forum. Sous le titre "Protéine - un génie méconnu ? Pouvoir - Potentiels - Perspectives", ils présentent les résultats d'études en cours dans la "Redoute" à Bonn-Bad Godesberg et les discutent dans le contexte des recommandations nutritionnelles établies.
Le directeur scientifique est le professeur Hans Konrad Biesalski de l'Université de Stuttgart-Hohenheim. Enfin, les experts poursuivent la question de savoir si le méjugé devient un génie reconnu.
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L'enquête de l'AMC révèle des opportunités
"Malgré la faiblesse économique, le marché de la restauration hors domicile en Allemagne peut être élargi", déclare Werner Vellrath de la CMA Centrale Marketing-Gesellschaft der Deutschen Agrarwirtschaft mbH, résumant les résultats d'une enquête représentative. Selon celle-ci, seuls 38,6 millions des 13,8 millions de salariés utilisent les restaurants d'entreprise, les cantines ou les distributeurs automatiques. Cela représente 75 % des 18,3 millions de personnes qui ont accès à ces installations. Un peu moins de la moitié de tous les travailleurs. Avec une dépense moyenne de 2,28 euros par visite, cela se traduit par un volume de ventes de 5,12 milliards d'euros par an. Même une augmentation de la fréquence des visiteurs de dix pour cent apporterait à l'industrie une augmentation des ventes d'un demi-milliard d'euros. Selon l'étude, il existe des réserves dans plusieurs zones. Les cantines ou les cuisines de cantine pourraient exploiter un potentiel inexploité en augmentant l'attractivité de l'offre. Non seulement cela augmenterait l'incitation pour de nombreux employés qui n'ont jamais utilisé la restauration sur le lieu de travail (25 % de ceux qui ont accès à un service de restauration). Cela encouragerait également les clients sporadiques (environ un tiers) à venir plus souvent. En outre, il existe un potentiel supplémentaire dans le fait que jusqu'à présent, seulement environ la moitié de tous les employés ont accès aux installations de restauration de l'entreprise.
La variété et la diversité sont plus que jamais demandées, notamment dans la restauration collective, qui attire un grand nombre d'habitués. Les clients des restaurants d'entreprise dépensent en moyenne 2,77 euros par visite. Cependant, comme le montre l'étude, leur disposition à payer pour les campagnes et les offres spéciales de menu passe à 3,30 EUR pour les offres spéciales et à 3,39 EUR pour les combinaisons de menus. Les campagnes promotionnelles ont donc non seulement un effet positif sur la fidélité des clients, mais aussi sur les ventes.
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Lors de sa réunion du 5 avril 2004, la commission de l'environnement du Parlement européen a décidé de ne plus débattre des propositions de règlement de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé portant sur les denrées alimentaires et sur l'enrichissement des denrées alimentaires. Cela signifie que la soi-disant première lecture ne peut plus être achevée au cours de cette législature et que le processus législatif dans son ensemble est interrompu. Les délibérations ne devraient pas être poursuivies par le parlement alors nouvellement élu avant septembre 2004 au plus tôt.
La raison de la suspension de la consultation était le grand nombre d'amendements. Rien qu'en commission de l'environnement, 466 demandes d'amendements à la proposition de la Commission ont été déposées, en commission des affaires juridiques, 95 autres, l'avis de la commission de l'industrie est toujours en attente.
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Des études sur le doner kebab au poulet montrent que la viande n'est pas toujours maigre
La viande de poulet dans les brochettes de doner est souvent plus grasse que ne le suppose le consommateur. C'est le résultat d'études menées par l'Institut alimentaire de Braunschweig de l'Office d'État de Basse-Saxe pour la protection des consommateurs et la sécurité alimentaire (LAVES). Au total, 32 échantillons de brochettes de poulet doner kebab ont été examinés au Braunschweig Food Institute. Douze échantillons proviennent de snack-bars de Basse-Saxe. 20 échantillons ont été prélevés dans les quatre entreprises de fabrication basées en Basse-Saxe. "Nous avons constaté que 45 % des échantillons de kebab de poulet provenant des fabricants de Basse-Saxe avaient une teneur en matières grasses plus élevée et 60 % de peau en plus que les cuisses de poulet standard", explique le Dr. Cornelia Dildei, responsable de ces études focales au Braunschweig Food Institute, et plus loin : « Dans 90 % des échantillons des snack-bars, les pourcentages de peau ont augmenté. Ces brochettes de doner kebab au poulet ne sont pas des produits à base de viande maigre.
Entre autres choses, cela est dû au fait qu'il reste encore des parties de peau sur le dos de la cuisse de poulet. Le doner kebab au poulet est fabriqué à partir de cuisses de poulet désossées et sans peau marinées. Dans le cadre des enquêtes, la teneur en peau et en gras a été déterminée dans ces échantillons et, à titre de comparaison, dans des cuisses de poulet disponibles dans le commerce.
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Stock au plus bas historique
Aux Pays-Bas, le dernier recensement du cheptel, en décembre 2003, a fait état d'un cheptel porcin d'environ 10,8 millions d'animaux. La population a diminué de 3,5 pour cent, soit près de 390.000 XNUMX animaux, par rapport à l'enquête douze mois plus tôt. Pour la première fois en décembre, il y avait moins de onze millions de porcs dans les écuries de notre voisin. Le taux de baisse s'est légèrement accéléré par rapport à l'année précédente.
Le nombre de porcelets pesant jusqu'à 20 kilogrammes a diminué au-dessus de la moyenne par rapport à l'année précédente. Leur nombre a diminué de près de huit pour cent pour atteindre environ 3,9 millions. Le déclin de la population de porcs reproducteurs a été légèrement plus important, tombant à 1,06 million d'animaux. La proportion de truies reproductrices a diminué de 7,7 pour cent à 1,05 million d'animaux. À moins quatre pour cent, la baisse du nombre de truies gestantes contenues dans ces truies était nettement inférieure à celle des truies non en maternité, dont près de 14 pour cent de moins ont été comptées. Cela signifie qu’une expansion de la population porcine néerlandaise est peu probable dans un avenir proche. En revanche, les stocks de jeunes porcs pesant jusqu'à 50 kilogrammes ont augmenté de 0,7 pour cent à 1,87 millions d'animaux et les stocks de porcs à l'engrais pesant plus de 50 kilogrammes ont augmenté de 0,6 pour cent à 3,93 millions d'animaux par rapport au résultat de 2002.
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Animaux de la ferme et de la viande
Sur les marchés de gros de viande, le commerce des flancs de bœuf a progressé rapidement et les prix sont restés pratiquement inchangés. En ce qui concerne les coupes, la demande s'est déplacée vers les coupes fines telles que le rosbif et le filet, pour lesquelles des exigences plus élevées pouvaient être imposées. Au cours de la semaine sous revue, il y avait encore un nombre suffisant de jeunes taureaux à vendre sur le marché des bovins de boucherie et les prix ont été de nouveau révisés à la baisse. Des prix fixes pourraient être fixés dans le nord et l'ouest pour faire face à la pénurie persistante de vaches d'abattage. Dans le sud, en revanche, aucune surtaxe supplémentaire n'a été accordée en raison de la demande calme de viande. Le prix moyen des vaches O3 a augmenté d'un centime à 1,79 euros par kilogramme de poids d'abattage, tandis que le prix moyen des jeunes taureaux R3 a baissé de trois centimes à 2,49 euros par kilogramme. Le commerce de la viande bovine par correspondance était calme. Au Danemark et en France, la viande de vache peut, dans le meilleur des cas, être commercialisée à des prix inchangés ; dans certains cas, des concessions de prix ont dû être faites. Les exportations de viande bovine vers la Russie sont stables et présentent des volumes commerciaux relativement importants. – Au cours de la semaine prochaine, les prix des jeunes taureaux ne devraient plus subir une pression aussi importante. Avec peu de changements dans l’offre de vaches d’abattage, on peut s’attendre à ce que les prix restent au moins inchangés. – Il y a eu une augmentation significative des ventes dans le commerce de la viande de veau. L'offre disponible de veaux destinés à l'abattage correspondait à une bonne demande. Selon des informations préliminaires, les animaux facturés au forfait s'échangeaient à 4,65 euros le kilo, soit cinq centimes de plus qu'auparavant. – La situation sur le marché des veaux commerciaux est stable.
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Christoph Silber-Bonz succède à Martin Fuchs
Christoph Silber-Bonz est le nouveau directeur général de l'Association des bouchers de Hesse, l'association nationale regroupant environ 1.800 35 boucheries de Hesse. Le politologue de 1 ans succède à Martin Fuchs, qui a rejoint l'Association des bouchers allemands en tant que directeur général le 2004er mai XNUMX.
Silber-Bonz, originaire d'Odenwälder, a étudié les sciences politiques et l'histoire à Bonn, puis a travaillé chez Nestlé Foodservice GmbH puis dans les associations patronales de la Hesse du Nord à Kassel. Il est responsable de la communication de l'Association allemande des bouchers depuis décembre 2000 et connaît donc déjà bien le métier de boucherie et les enjeux auxquels cette branche est confrontée.
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Le Centre fédéral de recherche sur les maladies animales virales de Riems a confirmé un autre cas d'ESB en Bavière. Il s'agit d'une femelle bovine Simmental de Haute-Bavière née le 02.11.1996 novembre XNUMX. L'animal a été examiné lors de l'abattage. Lors de la clarification finale effectuée par l'Institut fédéral de recherche sur les maladies virales des animaux, une protéine prion typique de l'EST a été clairement détectée.
C'est le 5. Cas d’ESB de l’année 2004 en Bavière. 2003 avait des cas d'ESB 21, l'année 27 2002, l'année 59 2001 et la cinquième année. Globalement, il y a donc dans l'état libre des cas d'ESB par 2000.
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Règlement (CE) n° 1829/2003 du 22 septembre 2003 relatif aux denrées alimentaires et aliments pour animaux génétiquement modifiés et Règlement n° 1830/2003 du 22 septembre 2003 relatif à la traçabilité et à l'étiquetage des organismes génétiquement modifiés et à la traçabilité des organismes génétiquement modifiés dans l'alimentation et les aliments pour animaux produits à partir d'organismes modifiés et modifiant la directive 2001/18/CE ont été publiés au Journal officiel de l'Union européenne le 18 octobre 2003 (JO L 268, pages 1 et suivantes). Les deux règlements sont entrés en vigueur le 24 novembre 7. Après l'expiration de la période de transition de six mois, le règlement (CE) n° 2003/1829 avec les nouvelles exigences en matière d'étiquetage s'appliquera à partir du 2003 avril 18. Le règlement (CE) n° 2004/1830, qui sera pertinent dans le secteur alimentaire principalement en ce qui concerne les exigences de traçabilité, s'appliquera à partir du quatre-vingt-dixième jour suivant la publication des marqueurs d'identification spécifiques. Avec la publication du Règlement (CE) n° 2003/65 de la Commission des CE du 2004 janvier 14 relatif à un système de développement et d'attribution de marqueurs d'identification spécifiques pour les organismes génétiquement modifiés (JO n° 2004 du 10 janvier 16, p. . 2004 et suiv.), le règlement (CE) n° 5/1830 est applicable à partir du 2003 avril 15. Les deux règlements sont directement applicables au droit communautaire et ne nécessitent plus de mise en œuvre nationale par les États membres de l'Union européenne. Début de validité et période de transition
Conformément à l'article 46, paragraphe 2, du règlement (CE) n° 1829/2003, les (nouvelles) exigences en matière d'étiquetage prévues par le présent règlement "ne s'appliquent pas aux produits dont le processus de fabrication a été initié avant la date d'application du présent règlement, à condition que ces produits sont fabriqués conformément aux règles fixées avant la date d'application de la législation applicable au présent règlement». Cela signifie que les aliments fabriqués à partir du 18 avril 2004 doivent être conformes aux nouvelles exigences d'étiquetage, tandis que les produits fabriqués plus tôt ou les aliments dont le processus de fabrication a commencé au moins avant cette date doivent être conformes aux réglementations d'étiquetage en vigueur à cette date (antérieure) et si cela c'est le cas, peut être vendu indéfiniment. De l'avis du Ministère de la Protection des Consommateurs, les stocks existants de marchandises pour lesquels il n'existe aucune information sur une obligation d'étiquetage ou aucune précision sur l'origine en raison des réglementations légales en matière de traçabilité qui ne sont pas encore appliquées peuvent être libérés jusqu'au 15 avril 2004. (début d'application du règlement (CE) n° 1830/2003) peut être acheté, est encore épuisé, c'est-à-dire H. sont traités.
